
Les indicateurs d'intelligence comportementale développés par MPF sont des KPI « anticipatifs », de véritables leviers de pilotage RH, conçus pour diagnostiquer, orienter et accompagner la progression individuelle et collective, avec des objectifs atteignables et des résultats mesurables.
Issus des neurosciences, des sciences comportementales et de l'intelligence artificielle, ces indicateurs offrent une lecture dynamique et évolutive du comportement.
Si les tests psychométriques classent les individus en catégories fixes, ces indicateurs révèlent, quant à eux, le potentiel de transformation de chaque collaborateur et par conséquent participent pleinement à la performance collective.
En éclairant les axes d'adaptation et de progression, notre approche unique en intelligence comportementale permet de projeter les comportements dans l'action, d'anticiper les prises de décision et de renforcer la performance collective.
Pour anticiper cette problématique d'épuisement professionnel, un diagnostic précis et individualisé permet la détection des facteurs de stress spécifiques à chaque collaborateur, ainsi que l'identification des profils à risque selon leurs comportements et leur environnement.
Des préconisations ciblées et personnalisées facilitent la mise en place d'actions préventives adaptées. Des recommandations individualisées sont proposées aux managers pour l'accompagnement de leurs équipes.
Les entreprises peuvent ainsi anticiper les signaux faibles du burn-out avant qu'il ne devienne critique. Plutôt que de réagir une fois le mal-être installé, elles peuvent ajuster les charges de travail, les attentes managériales et les politiques RH pour préserver le bien-être mental des collaborateurs et garantir leur engagement durable.
L'impact sur la performance globale se traduit par la réduction du turnover et de l'absentéisme, par l'amélioration de la qualité de vie au travail, donc de la productivité.
L'impact d'un manager exprime notamment sa capacité à mobiliser les forces comportementales individuelles pour générer une dynamique collective positive.
Un manager efficace crée une cohésion forte, où les complémentarités sont optimisées et les risques de friction anticipés.
En influençant l'implication et la dynamique des collaborateurs, il favorise un environnement de travail où l'engagement est durable et où chacun trouve sa place.
Son leadership repose sur l'activation des leviers comportementaux adaptés, facilitant l'alignement des énergies vers des objectifs communs.
L'entreprise peut ainsi identifier les styles de management les plus efficaces pour maximiser la performance et la résilience de l'équipe, tout en préservant une ambiance de travail saine et stimulante.
La connaissance du niveau de cohésion et des risques de friction au sein des groupes de travail permet aux entreprises d'optimiser la gestion de leurs équipes.
En analysant les interactions entre les membres deux-à-deux, cette approche offre une vision fine des dynamiques collectives.
Ainsi les managers peuvent prévenir les tensions avant qu'elles n'impactent la performance, renforcer la fluidité des échanges et maximiser l'efficacité collective.
Le choix entre privilégier la cohésion d'une équipe ou se focaliser sur la gestion des risques de friction dépend de plusieurs facteurs liés aux objectifs, au contexte et à la dynamique de l'équipe :
Identifier les signaux comportementaux précurseurs et mesurer la perte d'intérêt et le ressentiment des collaborateurs, aident à prévenir une baisse de motivation avant qu'elle ne devienne critique.
L'atout majeur de cette démarche est l'association d'une recommandation d'action spécifique pour le collaborateur et pour son manager, facilitant ainsi une réponse proactive et ciblée.
L'entreprise peut ajuster son management, renforcer l'implication individuelle et améliorer l'environnement de travail, réduisant ainsi le turn-over et les coûts liés au remplacement des talents.
En adoptant cette approche prédictive, l'organisation favorise une culture managériale bienveillante et réactive, où chaque collaborateur se sent écouté, valorisé et aligné avec les attentes de son poste, garantissant ainsi une meilleure stabilité et performance collective.
Cette approche permet d'identifier précocement les signaux faibles, d'ajuster les stratégies RH et managériales, et de créer des environnements de travail plus sains, engageants et résilients.
Chaque collaborateur(trice) qui a connaissance de son propre niveau d'efficience comportementale peut optimiser sa performance individuelle.
En identifiant les mécanismes cognitifs les plus naturels et les moins énergivores, cette mesure aide à aligner les talents avec leurs missions, réduisant ainsi la fatigue mentale et le stress.
En favorisant un meilleur rendement énergétique, les collaborateurs travaillent avec plus de fluidité, d'aisance et de motivation, ce qui améliore leur engagement et leur bien-être.
L'entreprise bénéficie ainsi d'une meilleure productivité, d'une réduction des erreurs liées à la surcharge cognitive et d'équipes plus résilientes face aux changements.
L'organisation peut ainsi affiner ses processus de recrutement, de formation et de mobilité interne, garantissant que chaque talent évolue dans un environnement où il peut donner le meilleur de lui-même avec un effort optimisé, au service de la performance collective.
La capacité d'un jeune talent à être performant dans la durée (efficience comportementale), sa capacité à s'intégrer au sein d'une équipe déjà constituée, ses softskills, ses adéquations aux missions confiées, tous ces indicateurs offrent une vision globale et dynamique du comportement humain au travail, en permettant de :
Renforcer la convergence des attentes des collaborateurs et leur capacités comportementales à y répondre, permet aux entreprises de révéler les talents et d'anticiper le succès professionnel en mesurant l'adéquation entre les attentes du collaborateur et l'efficacité attendue par le manager.
Cette approche permet d'aligner les comportements naturels de chacun avec les missions confiées, optimisant ainsi la motivation, l'engagement et la performance.
En identifiant les forces comportementales mobilisables et les risques d'inadéquation, l'entreprise peut ajuster le management, la répartition des tâches et les parcours d'évolution pour maximiser l'épanouissement professionnel.
Cette anticipation réduit les erreurs d'affectation, les frustrations liées à un manque de reconnaissance et améliore la productivité globale.
En adoptant cette démarche, l'organisation s'assure que chaque collaborateur évolue dans un environnement où il peut pleinement exprimer son potentiel, favorisant ainsi une meilleure rétention des talents et une culture de réussite durable.
L'étude du rythme de télétravail préférentiel pour chaque collaborateur permet aux entreprises d'optimiser l'équilibre entre télétravail et bien-être mental en identifiant le seuil idéal de jours travaillés à distance.
En mesurant l'impact du télétravail sur le bien-être et en classant 14 risques de dégradation mentale, cette approche aide à prévenir l'isolement, la perte de motivation et la fatigue mentale.
Les entreprises peuvent ainsi ajuster leurs politiques de télétravail de manière individualisée et organiser le travail des équipes, en préservant une efficacité optimale en présentiel comme à distance.
En conciliant productivité et bien-être, l'entreprise favorise un environnement de travail hybride équilibré, motivant et adapté aux besoins de chacun, particulièrement pertinent pour :
L'intégration du quotient d'intelligence comportementale (QIC) permet aux entreprises de valoriser les savoirs et savoir-faire de leurs collaborateurs en mesurant leur capacité à mobiliser efficacement leurs compétences dans leur environnement de travail.
De façon complémentaire au QI, qui évalue les aptitudes cognitives, le QIC révèle comment ces aptitudes sont exploitées dans des situations professionnelles réelles, offrant ainsi une vision plus opérationnelle du potentiel individuel.
Les collaborateurs peuvent identifier leurs axes d'amélioration, favorisant ainsi une montée en compétence ciblée et motivante.
Pour l'entreprise, c'est un levier puissant pour optimiser le développement des talents, source de leur bien-être mental.
En valorisant les forces individuelles et collectives, l'organisation renforce sa performance globale, améliore la satisfaction et la fidélisation des collaborateurs.
Le QIC est un outil dynamique et contextuel, conçu pour optimiser la performance et le bien-être au travail en mesurant l'adéquation des comportements aux exigences professionnelles.
Les mesures des 28 softskills permettent aux entreprises d'optimiser le développement des collaborateurs en offrant une cartographie des savoir-être pouvant influencer leur environnement et constituer un apport significatif dans l'exercice des missions confiées.
Utilisé pour dresser un portrait complet des capacités comportementales de chaque collaborateur, en mettant en évidence à la fois les forces à exploiter et les axes de progression spécifiques, cet outil permet de personnaliser les plans d'action et de formations, garantissant un accompagnement ciblé et adapté au potentiel de chaque collaborateur.
En capitalisant sur le développement personnalisé, l'organisation améliore sa performance collective, fidélise ses talents et renforce son attractivité.
Les softskills sont plus qu'un atout individuel, elles déterminent la culture et la performance d'une entreprise, dans un monde du travail où l'adaptabilité et le bien-être sont essentiels.